Ces titres que je ne chroniquerai pas... 8
Résumé : Mina s'apprête à fêter son seizième anniversaire quand ses parents lui annoncent la catastrophe du siècle : ils sont tous les deux des vampires. Et, franchement, vampire, c'est très surfait. Après tout, ils doivent gagner leur non-vie comme tout le monde et n'ont aucun super pouvoir. Mais il y a pire : Mina doit choisir si elle veut rester humaine et renoncer à tout contact avec sa famille ou si elle veut devenir un vampire et quitter son lycée et sa meilleure amie pour toujours. Cruel dilemme !
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que c'était rigolo comme tout, mais que je n'ai pas de nouveaux arguments par rapport à un titre comme le Carnet intime d'un vampire timide, donc je ne veux pas prendre le risque de me répéter.
La solitude des nombres premiers, de Paolo Giordano, édité chez Points
Résumé : Les nombres premiers ne sont divisibles que par 1 et par eux-mêmes ; soupçonneux et solitaires, certains possèdent cependant un jumeau dont ils ne sont séparés que par un nombre pair. Mattia, jeune surdoué, passionné de mathématiques, en est persuadé : il compte parmi ces nombres, et Alice, dont il fait la connaissance au lycée, ne peut être que sa jumelle. Même passé douloureux, même solitude à la fois voulue et subie, même difficulté à réduire la distance qui les isole des autres.
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que c'est un roman plus sombre que ce à quoi je m'attendais. Au début, les personnages sont englués dans des situations difficiles, mais je pensais (et j'espérais) un épanouissement, un apaisement pour ces deux personnages atypiques, et du coup le (non)-dénouement m'a laissée un peu sur ma faim.
Jolene, de Shaine Cassim, édité à l'Ecole des Loisirs
Résumé : Pendant un concert de Ray LaMontagne, Aurélien rencontre Jolene. À part la musique, tout les oppose. Leur relation est explosive. Mais Aurélien s’en moque : avant Jolene, sa vie n’avait pas de sens.
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que, si j'ai beaucoup aimé les descriptions passionnées et poétiques de la musique dans la première partie du roman, j'ai trouvé que la transformation de l'histoire en drame n'était pas dans la continuité du début, qu'elle arrivait même un peu comme un cheveu sur la soupe, et n'apportait rien de plus.