Ces titres que je ne chroniquerai pas...31
Un petit point sur les livres auxquels je ne réserverai pas de chronique individuelle, par manque de temps, parce que je ne les ai pas fini, parce que je ne les ai pas compris... C'est parti !
Mon chat en vrac, de Archie Kimpton, édité chez Albin Michel (Witty)
Résumé : Lors d'une de ses balades sur le mont Tourneboule pour échapper à sa triste famille, Billy Chausson tombe nez à nez avec un chat plutôt original : la tête à la place d'une patte, la queue à la place de la tête, et les pattes avant et arrière mélangées, il semble tout droit sorti d'un tableau de Picasso. Et en plus, il parle ! Billy décide de le ramener chez lui...
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que c'était sympathique mais pas le Witty le plus drôle de la collection.
Debout payé, de Gauz, édité chez le Nouvel Attila
Résumé : Debout-Payé est l'histoire d'Ossiri, étudiant sans-papiers devenu vigile à Sephora et à Camaïeu. C'est l'histoire d'un immigré, de l'enfer qu'il vit pour se loger et pour travailler, et du regard qu'il pose sur notre pays. C'est aussi un chant en l'honneur d'une famille dont les hommes, à chaque génération, partent devenir vigiles à Paris, et plus globalement de la communauté africaine, avec ses travers et sa générosité.
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que je suis friande de témoignages mais je ne m'attendais pas à la partie roman, trop bavarde à mon goût.
Rebelle belle, de Rachel Hawkins, édité chez Albin Michel (Wiz)
Résumé : Harper Price est belle, intelligente, populaire et elle sort avec le merveilleux Ryan. En bonne première de la classe, elle déteste David Stark, son rival de toujours ! Alors qu’elle s’apprête à être couronnée Reine du bal, tout bascule. Harper voit mourir le concierge du lycée, qui, dans un dernier souffle, lui transmet un pouvoir étrange, faisant d’elle un Paladin. La voici transformée en ninja hyper entraînée. Sa mission ? Protéger une personne très, très précieuse : un Oracle.
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que c'est un bon gros délire qui ne se prend pas au sérieux, quelque part entre Hex Hall et Mothership. De là à prendre le temps d'en faire une chronique...