Ces titres que je ne chroniquerai pas...30
Un petit point sur les livres auxquels je ne réserverai pas de chronique individuelle, par manque de temps, parce que je ne les ai pas fini, parce que je ne les ai pas compris... C'est parti !
Dieu me déteste, de Hollis Seamon, édité chez la Belle Colère
Résumé : New York, hôpital Hilltop. Richard Casey aura bientôt 18 ans. Comme tous les adolescents, il voudrait faire la fête, draguer, s’envoyer en l’air, tomber amoureux, danser, fumer, boire, et tout recommencer. La différence, c’est que Richard sait qu’il ne fêtera jamais ses 19 ans. il est un peu plus pressé que les autres et pour vivre fort, il lui faut déjouer les pièges de tous ceux qui préféreraient le voir vivre un peu plus longtemps. Heureusement, Richard a de la ressource, du courage et un solide sens de l’humour. Alors il va ruer dans les brancards. Et si Dieu le déteste, il est prêt à rendre coup pour coup.
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que je m'attendais à un texte plus percutant. Certes, les passages trash ne manquent pas, mais l'ensemble ne m'a pas touchée.
Cool sweet hot love, d'Erin MacCahan, édité chez Nathan
Résumé : Josie, 16 ans, est surdouée. Elle pense savoir tout sur tout et adore décortiquer, analyser, disséquer les mots… même ceux qui ne font pas vraiment partie de son quotidien, comme "amour", "petit ami", ou "rupture". Le jour où sa sœur Kate présente son fiancé à toute la famille, autour d’un délicieux plat de pâtes dont leur mère a le secret, Josie est persuadée que cette dernière fait fausse route. Comment pourrait-elle « aimer » ce garçon suffisant et insupportable ! Josie s’engage dans une bataille féroce pour briser ce couple…
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que c'est un petit roman de chick-litt mignon comme tout, mais qu'on peut le zapper sans regrets.
La baby-sitter, de Gudule, édité chez Milady
Résumé : Étrange gouvernante pour de très bizarres enfants...Et si la rassurante baby-sitter se laissait dominer peu à peu par la sauvage et sanglante violence que contiennent les contes de fées qu'elle lit le soir aux enfants ? Les deux gamins pourront-ils échapper à celle qui tout d'un coup se prend pour l'ogre et traque les chères têtes blondes ? Le grand méchant loup se lèche les babines...
Pourquoi je ne le chronique pas : Parce que j'avais l'excellent souvenir que les romans de Gudule / Anne Duguel (lus durant mon adolescence) plongeaient subtilement dans l'horreur et le malsain ; mais ce texte là ne fait pas dans l'ambiance et la suggestion, et nous balance son passage gore réglementaire et bien millimitré à chaque chapitre, au point de tirer vers le grotesque et le ridicule.